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Les méandres de ma vie
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Les méandres de ma vie

VIP-Blog de Puce
  • 378 articles publiés
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  • Créé le : 29/05/2005 20:05
    Modifié : 20/09/2008 19:51

    Fille (20 ans)
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    SOUVENIR...

    11/02/2006 16:56

    SOUVENIR...


    Ce texte, je l'ai écris il y a maintenant 3ans... je le laisse ici comme trait du souvenir... 3ans déjà tu es parti beaucoup trop tôt!

    Je me demande bien ce qu'est une vie, plus le temps passe et plus j'y réfléchie. La question restera t'elle sans réponse? Voici une possibilité de réponse car je pense malgré tout qu'il y en a plusieurs, il en existe une pour chacun de nos coeurs...

    Pour le mien la réponse est la lumière. C'est en regardant de près une bougie, qui se consumait petit à petit que mon esprit fut éclairé. Enfait la vie est une bougie qui est représentée par la flamme qui brille. Qui brille sans coup de vent pour le bonheur, qui brille fébrilement pour les épreuves. Cette bougie nous suit toute notre vie. Au commencement, à la naissance, puis pour chaque anniversaire qui passe, et enfin, pour le sommeil éternel. Durant notre vie nous passons de la simple lumière à la lumière éternelle.

    Sylvie, cela va faire 7 jours que tu nous a quittée (+ 3ans donc aujourd'hui), et pourtant je ne comprends toujours pas pourquoi.J'ai soudainement compris quelque chose tout de même: la vie est fragile come la flamme de notre bougie, elle peut s'éteindre d'un seul coup, à nimporte quel âge que ce soit. C'est très bizarre de se dire que sa marraine vient de passer dans la lumière éternelle et encore plus qu'en vous réalisez qu'elle avait le même âge que vos propres parents. Cela vous remet les idées en place et vous fait comprendre que la vie est une chose unique et présieuse, qu'il ne faut pas la gâcher mais en profiter. On ne s'est pas de quoi est fait l'avenir, chacun avance sur son chemin complètement aveugle, ne sachant pas où il se dirige mais il y va quand même.

    Comme dit le proverbe: Il faut mordre dans la vit a pleine dents...





     

     

    Coresspondance

    31/05/2005 22:03

    Coresspondance


    Ce qui va suivre je l'avais entrepris il y'a 2ans et je ne l'ai jamais continué comme beaucoup d'autre chose du même genre... c'est peut être dommage je ne sais pas à vous de me dire ce que vous en pensez...

    En réalité j'ai retrouvé ca dans les entrailles de mon ordinateur et je l'ai ressorti parce que je trouve dommage de laiser ca pourir tout seul au moins que cela sois présenté un peu...

    En fait c'est une fiction épistolaire entre 2 personnes vousl'aurez compris un homme et une femme et l'amour est impossible car cet homme est marié, et attend un heureux évènement avec son épouse...

    Voilà bonne lecture





     

     

    Coresspondance entre deux Amants

    31/05/2005 21:58

    Coresspondance entre deux Amants


    Mercredi 23 juillet 1968

     

     

    Philippe,

     

    Mon amour, mon amour vous me manquez. Depuis que vous êtes parti je ne vis plus, je somnambule dans un monde où sans vous à mes coté, la vie n’a plus de sens. Je suis comme privée d’air, enfermée dans une prison de verre. Je ne cesse de penser à vous, vous, encore et toujours vous. Vous êtes à quatre heures de moi, je suis à des années de vous.

     

    Mon amour, mon amour je vous aime avec ce cœur qui me maintient en vie, loin de vous, grâce à cette envie incessante de vous revoir. Vous êtes le plus beau cadeau que le ciel ne m’est jamais fait. A quoi me servirait-il de vivre si ce n’était pas pour donner tout l’amour que je garde au chaud dans ce modeste cœur ?

     

    Mon amour, mon amour je suis née à partir de l’instant où vos beaux yeux se sont posés sur moi. Vous avez fait naître en moi, un désir d’aimer et d’être aimée en retour. L’amour que je vous porte est si important qu’il ne peut être contenu tout entier dans mon cœur ; il est si fort qu’il me brûle de l’intérieur comme le soleil, cette grosse boule de feu dans l’univers.

     

    Mon amour, mon amour, mon amour.

    Je vous aime. M’aimez vous ?

     

    Je suis vôtre pour l’éternité.

     

     

     

     

     

    Mademoiselle Constance Dénatise

     

     

     

     

     

     

     

    Vendredi 25 juillet 1968

     

     

    Mademoiselle,

     

    Nos regards se sont croisés dans une fraction de seconde, et mon cœur a cessé de battre. Lorsque nos lèvres se sont effleurées, le souffle que vous m’avez porté m’a ranimé et réchauffé le cœur. Combien pour moi cette minute de bonheur est précieuse. Seulement, cet instant de bonheur intense est un péché.

     

    Ma vie est destinée à une autre : Mademoiselle Héloïse de la Barquarolle. Le prêtre nous a uni par les liens sacrés du mariage, et Dieu en est le témoin. Je ne peux me laisser aller au gré du vent, et écouter mon cœur comme bon me semble. Sachez que j’aime ma femme et qu’elle porte mon enfant. Ce petit être va naître dans un foyer normal, et sera aimé comme il se doit.

     

    Je ne veux rien à voir à me reprocher, et je ne désire, en aucun cas que ce soit, mentir à ma femme et mon futur enfant. C’est pourquoi, en conséquence de tout cela, je vous serais très reconnaissant de bien vouloir m’oublier, et de donner tout votre amour à un autre que moi.

     

    Nous nous sommes rencontrés le temps d’une chanson, à présent le temps d’une lettre, et à l’avenir, nous serons indifférents l’un à l’autre.

     

    Oubliez-moi.

    Salutations les plus sincères.

     

     

     

     

                                                                      Monsieur Philippe Louperrac

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dimanche 27 juillet 1968

     

     

    Philippe,

     

    Je ne peux me résigner à cela. Ma tête comprend votre position, mais mon cœur la refuse et ne peut s’empêcher de haïr Héloïse de la Barquarolle ; celle qui m’arrache à vous, et par Dieu qui plus est.

     

    Depuis cette seconde où nous nous sommes aperçus, je ne vis plus. Si vous ne pouvez m’aimer, je préfère mille fois mourir, plutôt que de vivre encore quarante ans dans ce monde cruel, qui ne m’a jamais apporté autre chose que de la peine, de la haine et de la souffrance .Jusqu’au jour où vous avez posé vos yeux sur moi.

    A présent, il n’y a pas une heure ou une seconde où je ne brûle pas de sentir vos mains se posées sur mon corps de jeune femme vierge.

     

    Je sais que vous êtes le bon ; l’homme de ma vie. Je veux être à vous et à personne d’autre. Comment pouvez vous me demander de vous oublier, alors que depuis notre brève rencontre, je ne vis que dans l’espoir de vous avoir près de moi à nouveau. Ne serait-ce que pour une seconde.

     

    Cette rencontre ne représente rien à vos yeux ? Vous dîtes que vous avez le devoir et l’obligation de m’oublier, mais votre cœur le désire t-il ? Je vous en conjure, si vous êtes fidèle à votre cœur, répondez moi et demandez moi de vous attendre. Je n’espère plus que vous dans ma misérable et insignifiante vie.

     

    Je vous aime Philippe.

    Répondez moi, je vous en conjure.

     

     

     

     

     

                                                                    Constance Dénatise

     

     

     

     

    30 juillet 1968

     

     

    Madame,

     

    Je ne suis qu’un homme parmi tant d’autres et à votre âge, je doute que vous ayez déjà rencontré l’amour. Je suis fidèle à mon cœur, j’aime ma femme ainsi que l’enfant qu’elle porte, mon enfant. En plus d’être fidèle à mon cœur, je le suis également envers mes devoirs.

     

    Je suis heureux d’avoir fait votre connaissance et nullement je la regrette. Il est vrai que vous ne m’avez pas laissé indifférent mais n’attendez rien de moi. Vous êtes jeunes et à votre âge on aime sans aimer, on désire sans désirer, on espère sans espérer.

     

    Regardez autour de vous et vous découvrirez des garçons dont vous ne soupçonniez pas l’ombre de l’existence et pourtant, sachez qu’ils sont nombreux à attendre un de vos regards, de vos sourires, de vos gestes.

     

    Ouvrez les yeux et oubliez moi, je suis destiné à une autre vie…

     

    Vous saluant bien.

     

     

     

     

     

                                                                      Monsieur Philippe Louperrac







     

     

    Un rêve...

    30/05/2005 20:43

    Un rêve...


    Un rêve s'était crée y'a un an

    Avec aucun espoir sur le moment

    Le destin à décidé autrement

    Par la rencontre du prince charmant !!

     

    Des petites disscussions échangées,

    Puis un matin un délire partagé

    Par la suite des messages envoyés

    Et un début super ensoleillé...

     

    C'est à deux que les premiers simples pas

    Commencent doucement avec émoi

    Le tout parsemé poussières de joie

    Maintenant c'est impossible sans toi !

     

    Je me vois belle dans tes yeux radieux

    Je suis douce dans tes bras délicieux

    Tu me fais vivre un rêve merveilleux

    Je te garde pour moi, tu es précieux.

     

    Ces quelques mots sont très simples en cette heure

    Mais sont sincères et viennent de mon coeur

    Le froid a cédé place à la chaleur

    Malaises évanouis, enfin le bonheur

     

    Maintenant je te quittes par mon sommeil

    Etant illuminée par le soleil

    Je sais et sens qu'à présent tu veilles

    A ce que ma vie ne sois que merveilles.

     

    Une rose pour chaque seconde

    Un bouquet pour chaque heure

    Un bisous à chaque seconde

    Un câlin à chaque pleur...

     

    Je suis dans ta vie j'y reste

    Je t'aime et c'est aussi simple !!

     

     

    Ta Puce...







     

     

    Juste deux

    30/05/2005 20:25



    Une soirée toute simple entre amis

    De la musique des paroles et des cris

    Tout le monde s'amuse et est heureux

    Mais lui, il joue parce qu'il est malheureux.

     

    La fête bat son plein mais lui s'isole

    En cet instant plus rien ne le console

    Il cherhce à s'enfuir mais ne trouve rien

    Il sais plus comment faire être bien.

     

    Un homme arrive avec des saletés

    Et direct se fait plébisciter

    Donne des petits pillules blanches

    Lui, déjà ailleurs est parti et flanche.

     

    L'âme en peine il part s'en acheter deux

    Après tout contre le mal c'est peu

    Erreur fatale on est bien peu de chose

    Première fois et mort par overdose

     

    Sandrine





     

     

    SEULE

    30/05/2005 20:18

    SEULE


    Suis-je réelle ou transparente?

    Entendez-moi hurler la mort

    Un spectre près de moi, s'endort

    La nuit, ce fantôme me hante.

    Et enfin morte, je suis libre.







     

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